les lucioles
Elles entendent autour d'elles les oiseaux chantent, il y a l'odeur de la terre, parfois lointaine, une pesante lassitude,
la vie la rend si bien de vivre ici bas, rien ne pourrais vivre à travers le chemin oublié.
Y a du bruit épuisées par tant de choses, futile et inutile pour un bien être qui vole en éclat, de discution en discutions pas de réponse, rebrousser chemin et suivre le parcours avec des enfants innocents
les jours ne se ressemblent pas ,que la vie est là.
Sans doute oubliée de tous, la vie suis son cours.
marcher seule au milieu de la nuit
par un temps de pluie à travers
les ruelles des lampadaires la lumière,
se repère.
Croyant qu'ils ont tous raison sur tous ce qu'ils peuvent dire
c'est une situation qui n'a rien d'exceptionnelle,
La vie à dit que cela était écrite
mais rien n'y fait elle fini par tout dire et avouées dire que la vérité,
lui qui vous chante et berçe votre mutisne sur la vie,
vous enveloppe de musique bien de chez nous,
le pays là ou
tiens là bas à Copacabana.
partie loin de tout, plus rien de ville en villes et de pays en pays,
en aucun cas stopé là.
traverser le désert, la ville, la campagne, la montagne, les immeubles ,
les quartiers les maisons ou elles ont élues domicile, mangé le couvert, passé la nuit sous les ponts dans le froid, comme le chaud, une aventure.
à suivre...